vendredi 31 décembre 2010

Respectez vos bonnes résolutions et atteignez vos objectifs

Ça y est, le mois de janvier commence demain avec son cortège de bonnes résolutions. Souvent aussitôt prises, aussitôt oubliées. La plupart d'entre nous n'a jamais réussi à tenir une seule de ces belles promesses.

Mais cette année c'est différent. Pourquoi ? Parce que vous lisez mon blog et que je vais consacrer le mois de janvier à une série d'articles qui vont vous aider à tenir vos bonnes résolutions.

Nous nous attarderons sur certaines des plus couramment émises et des plus difficiles à tenir : se mettre au sport, maigrir et arrêter de fumer.

Mais avant ça, nous allons nous attarder sur la définition d'objectifs. Et oui parce que l'une des clés pour respecter ses bonnes résolutions, c'est de bien les formuler.

1."Arrêter de fumer", "perdre du poids", sont de bonnes intentions mal formulées. Cette année, pour changer, je vous encourage donc à formuler vos bonnes résolutions en termes positifs.

Se focaliser sur ce qui ne va pas est une des erreurs qui font que nos résolutions du nouvel an sont souvent ratées. Pensez à construire vos forces plutôt que vous focaliser sur vos faiblesses. S'il s'agit de stopper un comportement, une addiction par exemple, dans ce cas précisez ce que vous ferez en remplacement du comportement.

2. Formulez vos bonnes résolutions en termes d'actions à accomplir. Et précisez au maximum vos bonnes résolutions, quitte diviser chacune d'elles en plusieurs mini-résolutions. Au lieu de "se mettre au sport", préférez "Dès le 1er janvier, je pratique 30 minutes de yoga par jour." "J'utilise les escaliers plutôt que l'ascenseur au moins trois fois par jour." Etc.

mardi 28 décembre 2010

hommes/femmes : qui a le cerveau le plus actif ?

Selon une étude canadienne dirigée par la chercheuse Adrianna Mendrek du Département de psychiatrie de l’Université de Montréal, le cerveau des femmes est plus actif que celui des hommes.

La raison ? Selon la chercheuse, les femmes sont constamment en train de penser aux millions de choses qu'elles ont à faire. Alors que les hommes, eux, seraient plus enclins à décompresser et à ne penser à rien. "
[...] c'est une question de niveaux, mais on peut dire en effet que le cerveau des hommes se repose plus et mieux que celui des femmes."

samedi 25 décembre 2010

Comment se remettre d'un échec ou d'une erreur ?

Quand vous faites une erreur, il y a seulement trois choses à faire : l'admettre, apprendre d'elle et ne pas la répéter.

Paul "Bear" Bryant*

*célèbre entraîneur de football américain

mercredi 22 décembre 2010

Une méthode de recrutement ludique et étonnante

En matière de recrutement, vous connaissiez les entretiens d'embauche, les tests psychologiques, la graphologie, la mise en situation... Et bien à présent, pour recruter leurs employer, certaines entreprises (comme l'agence de publicité H) utilisent le poker.

Les recruteurs qui utilisent le poker pour leurs recrutements ont choisi ce jeu pour évaluer diverses caractéristiques psychologiques chez leurs candidats : la résistance au stress, l'anticipation, persévérance, tempérance, courage, psychologie, modestie, évaluation des risques, discipline, etc.

Bien sûr cette méthode ne sera probablement jamais utilisée pour recruter sur un poste proposé au commun des mortels. Seules les "élites" ont le droit de s'amuser pendant leurs recrutements.

dimanche 19 décembre 2010

Avoir des frères et soeurs, est-ce bon pour soi ?

Une étude menée par le professeur de psychologie Tony Cassidy, en Irlande du Nord aurait démontré qu'il est bon pour le moral d'avoir une sœur.
En effet, selon les résultats, les personnes ayant grandi avec au moins une soeur sont généralement plus heureux que la moyenne des personnes sans sœur.

Cela est vrai aussi bien pour les hommes que pour les femmes. En revanche, avoir un frère ne rend pas plus heureux.

Comment expliquer ces résultats ? Selon Tony Cassidy, c'est une question de communication : «L'expression des émotions est primordiale pour une bonne santé psychologique».

jeudi 16 décembre 2010

La mémoire humaine fonctionne-t-elle comme celle d'un ordinateur ?

En ce qui concerne le fonctionnement de la mémoire humaine, le commun des mortels pense souvent que le cerveau fonctionne comme un disque dur. C'est à dire qu'il aurait une capacité de stockage limitée et qu'il faudrait donc éviter de l'encombrer de souvenirs inutiles.

En réalité, le cerveau n'a rien à voir avec un disque dur. Les neurones ne fonctionnent pas du tout comme des octets informatiques. En effet, les neurones ne stockent pas l'information, ils ne font que la transmettre. Ce sont les connexions entre les neurones qui déterminent la mémoire.

Et comme le nombre de connexions neuronales possible de chaque cerveau est supérieur au nombre d'atomes qui constituent notre univers, le cerveau n'a pas de limitation de mémoire que l'on pourrait saturer. La seule limite à sa capacité de mémorisation est l'énergie, le temps et l'attention que nous investissons dans l'apprentissage de nouvelles connaissances.

Par contre, inconvénient majeur, la mémoire du cerveau peut "s'éteindre" avec le temps. En effet, si on n'utilise pas nos connexions neuronales, elles s'affaiblissent avec le temps.

lundi 13 décembre 2010

A quoi sert la culture générale ?

Albert Einstein a dit : "l'imagination est plus importante que le savoir". Mais la réalité, c'est qu'on ne peut pas avoir d'imagination sans savoir. En effet, avoir de l'imagination ne signifie pas créer à partir de rien. Imaginer, c'est utiliser ses connaissances de manière nouvelle.

C'est pourquoi, selon le professeur en psychologie cognitive Daniel T. Willingham*, l'acquisition de la culture générale est la clé de la réussite scolaire.

En effet, plus on a de connaissances, et plus il est facile d'en acquérir de nouvelles, et plus on est créatif dans la résolution de problèmes nouveaux.

Donc la culture générale, ce n'est pas une perte de temps. Accumuler des connaissances, ça finit toujours par servir.

*Pourquoi les enfants n'aiment pas l'école, La Librairie des écoles

vendredi 10 décembre 2010

Le travail, c'est la santé ?

Le fameux dicton "Le travail, c'est la santé !" se révèlerait-il erroné ? Oui, en tout cas au niveau de la santé mentale, si l'on en croit le site web du British Medical Journal.

En effet, le départ en retraite conduirait à une diminution de la fatigue physique et psychique. Elle diminuerait aussi les symptômes dépressifs.

En somme, "la retraite c'est la santé mentale !"

mardi 7 décembre 2010

Comment devenir un héros ?

Quel est le point commun entre Martin Luther King, Gandhi, Nelson Mandela, Leonidas de Sparte et Che Guevara ? Beaucoup de monde (pas tous) les considèrent comme des héros.

Le psychologue Frank Farley a développé un modèle de l'héroïsme : le 5-D. Selon lui, les 5 déterminants de l'héroïsme permettent d'expliquer ce qui fait un héros :

1. La personnalité. Pour être un héros, il faut être courageux (évidemment !), honnête (bien sûr !), altruiste (c'est tout moi !), intelligent (Forrest Gump, tu n'es pas un héros.), charismatique (J'y aurais pas pensé !) et aimer prendre des risques (sans rire ?).

2. La profondeur. Difficile à définir, c'est pourtant une qualité que nous reconnaissons facilement quand nous la voyons, selon Frank Farley.

3. La cause. On ne peut pas être un héros partout. Il faut donc s'attaquer à un domaine particulier, comme les droits civiques par exemple.

4. L'information. Pour être un héros, il faut que quelqu'un raconte votre histoire, dans un livre, à la télévision, etc.

5. La distance. Pour être un héros mythique, il faut être loin. Si je vous demande qui est votre héros préféré, vous n'allez pas me répondre "papa/maman", mais plutôt un personnage que vous n'avez jamais côtoyé.

samedi 4 décembre 2010

5 bonnes raisons de se mettre au sport

1. Vous le savez déjà, pratiquer une activité physique régulière, c'est bon pour la santé. Le sport booste le système immunitaire et donc la résistance aux infections. Il permet aussi de se prémunir contre tout un tas de maladies, notamment celles qui tournent autour du cœur et de la circulation.

2. Nous l'avons déjà vu dans un article précédent, l'activité physique modérée est un bon moyen d'éviter les coups de déprime. Le sport est donc l'une des clés pour garder un moral au beau fixe.

3. Nous avons également vu que le sport est un excellent moyen de booster ses neurones. Bouger rend plus intelligent (ou alors c'est la sédentarité qui rend plus crétin).

4. La pratique d'une activité sportive permet de retarder l'apparition de ce que les médecins appellent les démences séniles, c'est à dire la perte des facultés mentales telles que la mémoire qui vient avec la vieillesse. Bouger permet de conserver le cerveau jeune plus longtemps.

5. Le sport rend plus performant, et pas seulement dans les tâches physiques. Donc même si vous passez vos journées à travailler devant un ordinateur, en réunions, ou à étudier à la bibliothèque, la pratique d'un sport améliorera vos résultats.

6. La pratique d'une activité physique permet de mieux dormir. Et vous le savez, un bon sommeil est indispensable pour se sentir bien.

7. Le sport permet de mieux résister au stress. Il permet aussi de diminuer les effets négatifs du stress sur le corps.

8. Le sport réduit la fatigue ! Et oui, pratiquer un sport de manière régulière est donc un investissement qui permet de se recharger en énergie. Se sentir fatigué est donc une bonne raison de bouger, et non de se reposer.

9. Et enfin, le sport permet d'améliorer la confiance en soi.

Il y a sûrement d'autres bonnes raisons de faire du sport. Donc, chers lecteurs, si vous avez d'autres idées partagez-les avec nous dans vos commentaires.

dimanche 28 novembre 2010

La rêverie est-elle bonne pour le moral ?


Selon une étude américaine (Killingworth & Gilbert, 2009), les êtres humains ont souvent la tête dans les nuages. Nous avons la tête ailleurs environ 47% du temps dans la plupart des activités.

Mais la rêverie n'est pas bonne pour l'humeur. Toujours selon la même étude, rêver engendre des baisses de moral. En effet, une fois la rêverie terminée, le retour à la dure réalité est difficile : regrets, peur, tristesse, colère, sentiments d'échec, désillusion, etc.

Mieux vaut donc s'impliquer dans ce qu'on fait et vivre le moment présent. Alors à partir de maintenant cessez d'imaginer votre vie et commencez à vivre pour de bon !

jeudi 25 novembre 2010

Lisez deux fois plus vite grâce à cette technique simple

Savez-vous qu'il est possible de lire deux fois plus vite tout en assimilant autant d'informations ? Le secret : quelques principes de bases faciles à mettre en œuvre, un peu d'entraînement, de la concentration et surtout accepter de changer vos habitudes.

Premier principe : préparer la lecture. Lorsque vous lisez un document, le contenu du texte est bien souvent accompagné d'un titre, d'images, de sous-titres, de mots soulignés en gras, d'une table des matières, d'un plan, etc. Servez-vous de ces éléments en repérant les idées clés pour préparer votre lecture du texte lui-même. Votre cerveau sera plus rapide s'il sait ce qu'il va lire.

Deuxième principe : éviter la résonance mentale. Beaucoup d'entre nous, lorsqu'ils lisent, prononcent les mots dans leur tête. C'est une habitude bien souvent fixée depuis l'époque où ils ont appris à lire, mais qui ralentit leur rythme de lecture tout en n'améliorant pas la compréhension du sens du texte. Donc laissez de côté cette mauvaise habitude et vous gagnerez déjà en vitesse de lecture.

Troisième principe : accepter de ne pas tout comprendre. En augmentant votre vitesse de lecture, vous aurez peut-être l'impression que votre cerveau ne suit pas le rythme, que vous passez à côté du sens des mots. C'est faux. En réalité, votre cerveau fonctionne à plein régime et vous vous rendrez vite compte que vous aurez saisi les idées essentielles du texte.

Quatrième principe : utiliser votre vision périphérique. Lorsque vous lisez, vous n'êtes pas obligé(e) de fixer tous les mots. En effet, les mots qui sont dans votre vision périphérique (c'est à dire éloignés du centre de votre champ de vision) sont également analysés par le cerveau. Au fur et à mesure que vous vous familiarisez à la lecture rapide, gagnez du temps en fixant le moins de mots possibles. Autrement dit, essayez de sauter de plus en plus de mots.

lundi 22 novembre 2010

Les secrets du désir féminin

Plusieurs études l'ont montré : en matière de sexe 40% des femmes se plaignent d'un manque de libido.*

Depuis que le Viagra est devenu le meilleur ami de l'homme, les compagnies pharmaceutiques cherchent à trouver un équivalent à la petite pilule bleue pour les femmes. Mais ce n'est pas si simple. L'effet "mécanique" du Viagra, qui provoque l'érection par un afflux de sang dans le pénis, ne peut pas être appliqué chez les femmes.

En effet, le désir féminin est différent du désir masculin. De manière générale, les hommes ressentent plus d'excitation sexuelle : plus souvent et plus intensément. Alors que chez les femmes, les mécanismes du désir sont plus complexes, mais aussi plus fragiles.

Du côté féminin, les niveaux de désir varient beaucoup. Ils varient d'une femme à l'autre, mais aussi chez une même femme en fonction de son cycle menstruel et de son âge.

Des facteurs psychologiques entrent également en action. Notamment les sentiments en jeu dans la relation avec son partenaire et ce qui se passe dans sa vie en général.

En fait, chez les femmes comme chez les hommes, le premier organe sexuel est le cerveau. Mais contrairement à celui des hommes, le désir féminin ne fonctionne pas comme un interrupteur que l'on pourrait allumer ou éteindre à sa guise.

*étude menée par le PRESIDE (Prevalence of Female Sexual Problems Associated with Distress and Determinants of Treatment Seeking) en 2006

samedi 20 novembre 2010

Qu'est-ce que l'asexualité ?


Pour la plupart d'entre nous, ressentir du désir, de l'attraction sexuelle semble universel. Nous avons du mal à imaginer quelqu'un n'ayant jamais éprouvé ces sentiments. Et pourtant...

On appelle ça l'asexualité*. Les asexuels sont des personnes qui n'éprouvent pas d'attraction sexuelle.

Il s'agit d'une orientation sexuelle. C'est à dire que ce n'est pas un choix volontaire, comme pourrait l'être le célibat.

Comme "bloquées", en matière de sentiments, au stade de l'enfance avant les premiers émois de l'adolescence, ces personnes ne sont pourtant pas considérées comme malades.

En effet, tant que le fait de ne pas ressentir de désir sexuel n'engendre pas de souffrance psychologique (angoisse, déprime, etc.), il n'y a pas à s'inquiéter.

*Pour plus d'infos sur l'asexualité, vous pouvez vous rendre sur le site web de l'AVEN (en anglais).

jeudi 18 novembre 2010

L'expertise nuit-elle à la créativité ?


En psychologie cognitive, il existe un phénomène bien connu que l'on appelle l'effet d'Einstellung.

Lorsqu'on est confronté plusieurs fois à un même problème, ou à des problèmes similaires, on apprend à le(s) résoudre d'une certaine manière. Puis cette manière devient une habitude.

Par la suite, nous ne remettons jamais en cause cette habitude. Nous devenons même aveugles aux autres méthodes, aux autres manières de faire, même si elles se révèlent plus efficaces. C'est cela l'effet d'Einstellung.

En d'autres termes, l'expertise engendre des habitudes contre-productives. Cela peut conduire, par exemple, des joueurs d'échec à utiliser une stratégie plus risquée que nécessaire simplement parce qu'ils n'ont pas vu qu'une méthode inhabituelle leur permettrait de gagner la partie en trois coups.

Donc, dans les domaines où vous êtes un expert, prenez de temps en temps du recul, pour réfléchir à ce que vous faites. Et essayez de prendre des chemins détournés, pour tester d'autres manières de faire. C'est ainsi que vous pourrez vous prémunir des effets négatifs de l'habitude.

mardi 16 novembre 2010

Un moyen simple et étonnant d'augmenter ses performances intellectuelles


Une étude publiée en 2008* révèle un moyen inattendu de booster ses facultés mentales : la conversation.

En effet, passer 10 minutes à parler à une personne suffit à augmenter la capacité de mémorisation ainsi que les performances intellectuelles.

Toujours selon cette étude, la socialisation serait à peu près aussi efficace que la pratique d'exercices cérébraux du genre de ceux du Dr Kawashima.

Donc la prochaine fois que vous vous trouvez face à un problème insoluble, sortez prendre un café et parlez 10 minutes de la pluie et du beau temps. A votre retour, tout paraîtra plus simple.

*Oscar Ybarra et al., February 2008 issue of the Personality and Social Psychology Bulletin

dimanche 14 novembre 2010

Le meilleur moyen de booster vos neurones

Le meilleur moyen de booster vos neurones n'a rien à voir avec les exercices cérébraux du genre de ceux du Dr Kawashima.

Le meilleur moyen de booster ses facultés mentales, c'est... l'exercice physique. 30 minutes de sport modéré par jour retarde la mort des neurones et favorise même leur création.

En résumé, pour booster votre mémoire et vos performances mentales, mieux vaut bouger que rester assis à faire du calcul ou du scrabble.

vendredi 12 novembre 2010

Comment éviter les baisses de moral ?

Les gens qui pratiquent une activité physique régulière ont tendance à moins ressentir de symptômes dépressifs*. Autrement dit, pratiquer un sport régulièrement évite les coups de mou. Donc à vos chaussures de sport !

Mais attention, pour que les effets positifs du sport se manifestent, vous devez vous dépenser sur vos heures de loisir. En effet, les jobs physiques ne permettent pas d'éviter les coups de déprime. Ce n'est qu'en pratiquant une activité en dehors de vos heures de travail que vous profiterez des effets du sport.

Par contre, bonne nouvelle, peu importe l'intensité de l'activité. Pas besoin de transpirer ou de vous épuiser. Même la marche, le roller ou le curling permettent de prévenir la déprime.

En fait, c'est le temps de pratique qui compte. Plus vous vous dépensez longtemps et souvent, et plus vous bénéficiez des effets du sport.

*Harvey SB, Hotopf M, Øverland S and Mykletun A (2010) Physical activity and common mental health, British Journal of Psychiatry, 197: 357-364

mercredi 10 novembre 2010

Confiance en soi : apprenez à encaisser les échecs

Intégrer un groupe, entamer la conversation ou draguer une personne, ce n'est pas gagné d'avance. Parfois, même les meilleurs sont rejetés.

Mais les personnes socialement compétentes ne prennent pas ces rejets personnellement. Ils n'attribuent pas les échecs à des causes internes, telles que leur incapacité à se faire des amis ou le fait d'être inintéressant.

Elles savent que le rejet en question peut être dû à de multiples facteurs - incompatibilité, mauvaise humeur de l'interlocuteur, malentendu, etc.

Les personnes confiantes deviennent résilientes, apprennent de leurs erreurs. Elles se servent alors de ce qu'elles ont appris pour réussir leurs futures tentatives.

lundi 8 novembre 2010

Comment entrer dans une conversation ?

Beaucoup de timides ou de maladroits en société me posent cette question : "Ne pas rester seul dans son coin d'accord ! Mais comment faire pour entrer dans une conversation ?"

Tout est dans le timing. Après avoir écouté et observé le groupe qu'ils souhaitent rejoindre, les personnes socialement compétentes cherchent une opportunité pour faire leur entrée.

En général, il y a toujours une accalmie dans la conversation. C'est alors que pour participer à la discussion le nouveau venu pose une question ou développe ce que l'un des participants vient de dire.

L'idée est d'utiliser une question ouverte, qui laisse les autres participer. Le but est d'aider le groupe à avoir une meilleure conversation.

samedi 6 novembre 2010

jeudi 4 novembre 2010

Comment se rendre intéressant ?

Beaucoup de timides, qui ne savent pas comment engager la conversation, ont l'impression d'être inintéressants. Ils ont l'impression que pour entamer une discussion, il faut savoir bien parler.

Ils se trompent complètement ! Pour vous rendre intéressant(e)s, vous n'avez pas à parler, mais à faire parler votre interlocuteur.

Quoi de plus naturel ? Pour tout un chacun, le meilleur sujet de conversation est... soi-même. Il suffit donc de vous intéresser à l'autre pour vous rendre intéressant. Bien vite il(elle) ne pourra plus se passer de vous !

Alors en piste ! La prochaine fois que vous ne savez pas quoi dire, posez des questions. Privilégiez les questions ouvertes et servez-vous des réponses de votre interlocuteur pour trouver d'autres questions.

mercredi 3 novembre 2010

Une technique simple pour booster sa confiance en soi

L'une des meilleures sources de confiance en soi réside dans vos interactions sociales, autrement dit les discussions, entre amis, parents, conjoints, etc.

Et même si vous êtes la caricature d'un "geek", dont le seul compagnon est un ordinateur, il n'est jamais trop tard pour développer votre aisance sociale.

Pour cela, c'est comme tout, il suffit d'y investir du temps. Car en matière de confiance, le cerveau fonctionne selon le principe connu "Use it or lose it !" ("Utilisez-le ou perdez-le !").

Donc arrêtez de refuser les invitations qu'on vous envoie et commencez vous-même à inviter du monde. Prévoyez dès maintenant des sorties avec les ami(e)s que vous aimeriez mieux connaître.